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CE QU'ILS EN DISENT

Dans la salle, à la fin, la gravité bouleversée de tous. Gens en larmes. Ovation debout. Bravos. Sensation de participer plus que d’assister à ce qu’une pensée vivante suscite, provoque et incarne : rien de moins, en ces Très Riches Heures de Chaminadour, que l’invention d’une communauté possible.

Pourquoi écririons-nous, sinon ? Pourquoi lirions-nous, sinon ? Oui, pourquoi, pour quoi ? C’est pour ça qu’on a pleuré de joie, un matin de septembre 2014, à Guéret.

Jean-Paul Chavent, écrivain.

J'ai trouvé à Guéret une atmosphère singulière, une intensité très spéciale, quelque chose d'engagé et de fervent, une écoute collective et un regard sur la littérature à la fois critique et plein d'empathie. J'ai aimé que se mélangent les voix d'écrivains et d'universitaires et la place faite à la lecture même des textes. C'était formidable. Et le défilé de la vache Biche et de sa bonne amie dans la ville, la supplique d’Hugues au préfet, ont ponctué le tout dans un beau mouvement dada-paysan !

Maylis de Kerangal, écrivaine.

Permettez moi de vous dire que j’ai passé à Guéret une des belles expériences de mon long cheminement de serviteur des lettres.

Votre aventure de Chaminadour est l’une des plus étonnantes et fascinantes initiatives littéraires que j’ai pu observer, et j’explore le secteurs depuis belle lurette. L’exigence intellectuelle du propos, la chaleur de l’accueil, la simplicité spontanée des participants, tout cela fait de Chaminadour un rendez-vous des fervents de l’écriture comme il y en a peu.

Jacques de Decker,  Académicien - Secrétaire perpétuel à l'Académie Royale de Langue et de Littérature françaises de Belgique

Il y a un mois, durant les rencontres de Chaminadour, je vivais certainement l'un des plus beaux souvenirs de ma vie littéraire... 3 jours d’émulation, d’érudition et de fête , d’amitié, de générosité, de communion et de découverte. Votre bienveillance et la douceur qui émanaient de votre accueil nous ont permis de vivre des moments inoubliables, de ceux qui donnent envie de se battre et de ne rien lâcher de notre métier, en cas de coup dur et de fatigue, je me rattache à ce que j’ai ressenti et partagé ces jours - là autour de Blaise Cendrars et de toute votre équipe et mon cœur de libraire retrouve le sens et la voie de ce chemin qu’est LA TRANSMISSION.

Charlotte Desmousseaux, Librairie La vie devant soi, Nantes.

Un grand merci pour ce magnifique week-end, un des plus beaux moments de ma vie littéraire.

Mathias Enard , écrivain.

De retour à Nantes, je vous adresse un petit mot de félicitations et de remerciements pour ces si belles rencontres avec Cendras et Enard. Je fréquente depuis longtemps des rencontres littéraires et je dois avouer que Chaminadour, que j’avais hâte de découvrir, a été au-delà de mes attentes ! Le niveau intellectuel, l’organisation, l’accueil et l’ambiance y sont parfaits !

Christine Marzelière, responsable Mission Livre et lecture - Région Pays de la Loire.

À Guéret tu as réussi à mettre en place ce dialogue entre deux générations d'écrivains. Ce dialogue existe peu en dehors de Chaminadour. C'est donc un signe important à mes yeux, de prendre la suite de ces écrivains que j'admire et que je lis depuis 20 ans. Et peut-être d'être lus par eux à cette occasion.

Arno Bertina, écrivain.

Séduction absolue grâce au sérieux et la chaleur qui se dégageaient de ces belles journées, jamais trop longues.Ces Chaminadour-days sont uniques, ni colloque universitaire ni conversation de salon. Une parole tenue et déployée de chaque instant. J'ai été très impressionné – et le public était là, constant, nombreux, c'est formidable.

Claro, écrivain et traducteur.

On ne sort jamais indemne des Rencontres de Chaminadour.

Sylvie Germain, écrivaine.

Je t’écris d’abord pour te remercier pour la fête que nous avons tous eue grâce à ton énergie aussi bien qu’au dévouement de toute ton équipe et à l’amour pour la culture des habitants de votre ville qui remplissaient la salle tous les quatre jours. Le dernier fait nous (chercheurs et « universitaires ») a étonné et charmé le plus car nous sommes habitués à parler devant nous-mêmes dans l’ « intimité la plus stricte » et souvent, hélas, dans l’ennui du déjà vu et entendu. Cette spontanéité franche et chaleureuse de l’accueil, typique pour des repas français (qui, eux-aussi, ont atteint cette fois le sommet de la convivialité et des délices culinaires), m’a frappé surtout le dernier jour, jour de la procession sur les traces de Chaminadour. Merci pour tous ces sentiments et sensations que je n’oublierai pas longtemps. Longue vie aux Rencontres de Chaminadour !

Alexey Vishnyakov, traducteur.

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